Drôles d’indignés

Après le bilan que fait Bernard Poignant des deux premières années de mandat de Ludovic Jolivet, celui-ci, à défaut de répondre lui-même, lâche ses troupes, enfin quelques-unes, sa garde rapprochée, qui jouent les indignées. Elles confirment plutôt ce que l’on sait de la gouvernance du maire actuel : une aversion pour la liberté d’expression et le débat démocratique ; car on voit mal au nom de quoi un ancien maire et député se verrait interdire l’expression de son opinion sur la gestion de la ville, de la communauté, de la Cornouaille. Cette logique affichée : « candidat battu = candidat muet  » ne s’est pourtant pas appliquée au chef de leur parti, Nicolas Sarkozy. Non content de se déverser dans les médias depuis sa défaite en 2012, il veut aujourd’hui se représenter aux prochaines présidentielles. Fais ce que je dis, pas ce que je fais.

 

Laisser un commentaire